
Gaston Bachelard
Gaston Bachelard considère que la science progresse par négations progressives des paradigmes précédents[1]. Il cite ainsi les différentes théories du « non » : « la géométrie non-euclidienne, la mesure non-archimédienne, la mécanique non-newtonienne avec Einstein, la physique non-maxwellienne avec Bohr, l’arithmétique aux opérations non-commutatives qu’on pourrait désigner comme non-pythagoricienne[2] », dans lesquelles la négation englobe, intègre, ce qu’elle nie. Lire la suite